Une infinie poésie.
Baptiste Beaulieu nous livre une bouteille à la mer dans laquelle on découvre une histoire de famille, de destins dévastés par la guerre, d’émotions contradictoires et d’élans du cœur.
Denis a brusquement cessé de voir son fils Jean, lorsqu’il a appris que ce dernier était amoureux d’un homme mais, après le décès de Papi Moïse, et la découverte de lettres qui le bouleversent, il reprend contact avec lui.
Ces lettres sont adressées à une femme, Anne-Lise Schmidt. Mais qui est-elle ?
Jean se met alors en route pour retracer la vie de Papi Moïse en suivant les lieux et les moments de vie décrit dans les lettres. Malheureusement, beaucoup d’évènements ont été effacés par les deux guerres mondiales. Jean décide alors de tisser d’autres histoires d’amour filiales, amicales et amoureuses, à celle de son grand-père afin de tenir son père en haleine, de lui ouvrir l’esprit et de tenter de renouer le lien avec lui.
Une histoire d’amour, de partage, de bienveillance et de temps qui passe.
Je recommande !
« Fils, quelqu’un est entré dans ton cœur, a ouvert les volets en riant très fort et en criant : « Voilà le printemps » et peu importe qui il est : si tu l’aimes, alors je l’aimerai aussi ».