Un récit incisif et drôle sur les femmes invisibles que l’on devient entre 45 et 65 ans. Autrement dit entre la bonne meuf capable de se reproduire et la grand-mère.
L’autrice nous raconte comment transcender la période de la ménopause qui nous est imposée par la société occidentale contemporaine comme une assignation à la décrépitude et au malheur. On la voit en effet trop souvent comme la fin de la vie, comme une invisibilisation de notre condition de femme voire d’être humain à part entière.
Elle nous décrit au contraire la prise de pouvoir qu’elle découvre durant cette période, la résilience, les fous rires et la sororité.
C’est court, c’est beau et empouvoirant, je recommande !
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