Le roman se divise en plusieurs parties, je n’ai pas poursuivi au-delà de la 2nde partie, à 60% du livre. La 1ère partie se déroule à Amsterdam en 1642. On y suit la vie d’un peintre réputé et veuf, père d’un petit garçon pour lequel il embauche Margot avec laquelle il finira par entretenir des relations amoureuses.
C’est au cours de ce chapitre qu’on découvre la gravure de la femme-écrevisse, tête et pinces d’écrevisse sur un corps de femme. Cette gravure fascine et entraine Margot dans une spirale destructrice. Si le début du chapitre fait montre d’une grande poésie, la fin est malaisante notamment au niveau des rapports sexuels qu’entretiennent les deux protagonistes.
La gravure se transmet par la suite sur deux générations et son emprise psychologique également.
Le manque de structure du récit m’a malheureusement fait perdre le fil de la lecture. Probablement un livre à plusieurs niveaux de lecture, sur les relations humaines et la folie, mais difficile d’accès. Dommage car le sujet de l’œuvre est passionnant.
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